Comme dans l’ensemble des universités françaises, le climat est tendu à Toulouse en raison d’un mécontentement des étudiants quant aux méthodes et à l’inadéquation des lieux d’enseignement. Le 25 avril, l’interdiction d’un meeting organisé par les étudiants à la faculté des Lettres suscite une protestation qui généralise une agitation estudiantine et ouvrière.